Les violences contre des féministes en Allemagne
Gewalt gegen Feministinnen in Deutschland
Violencia contra las feministas en Alemania
Violence against feminists in Germany
auf deutsch unten / en español a continuación / in English, below
Les notes se trouvent dans le texte allemand. / Las notas están en el texto alemán. / The notes are in the German text.
– Sur les réseaux sociaux, les personnes qui expriment des critiques à l’égard de l’idéologie trans sont systématiquement qualifiées de «TERFs fascistes».
– Lors de la Gay Pride, des déclarations très misogynes sont faites. Elles sont même imprimées et distribuées sur des tracts ou rendues visibles sur de grandes affiches, comme lors de la Gay Pride de Stuttgart en 2022 : « LES TERF PEUVENT SUCER MON ÉNORME BITE TRANS ». Ou « Suce ma bite ». Ou comme à Karlsruhe lors de la Gay Pride 2023 : « Des sacs de couchage mouillés pour les TERFs ».
En Allemagne, les participants à la Gay Pride défilent désormais avec des pancartes de ce type, même si ces événements sont officiels et parrainés par des conseillers municipaux et des député·es. Quelle femme est encore en sécurité ?
La critique de la loi sur l’autodétermination n’est pas autorisée. Les discussions factuelles sont difficilement possibles. Voici quelques exemples :
– La députée Mareike Wulf souhaitait donner une conférence à l’Université de Göttingen. Elle avait déjà été décrite par les Jeunes Vert·es comme “anti-queer”. Les étudiants ont tellement protesté que la conférence a dû être annulée. Wulf a quitté la salle sous la protection de la police.
– Ce ne sont pas seulement les hommes et femmes politiques qui sont réduit·es au silence par la violence. L’association Sisters e.V., qui soutient le modèle nordique et aide les femmes à quitter la prostitution, est régulièrement perturbée dans ses activités. À Berlin, par exemple, on refuse à ses membres l’accès à des lieux de rassemblement parce qu’on les accuse d’être « transphobes ». Un événement organisé par Sisters à Leipzig a récemment été saboté. Plusieurs groupes de Leipzig ont lancé un appel pour qu’une projection de film avec table ronde se transforme en « désastre ». Les transactivistes créent artificiellement un lien entre la critique de la prostitution et la transphobie. C’est absurde !
Et cela devient encore plus absurde : l’association Sisters a même été qualifiée d’”antisémite” parce qu’elle décrivait le groupe d’intérêt des proxénètes comme un lobby; le procès contre Sisters est toujours en cours.
– La conférence de l’Alliance LGB à Londres a dû être annulée lorsque des activistes trans ont lâché 6 000 criquets dans la salle. En conséquence, Jamie Reed, une infirmière américaine qui avait travaillé dans une clinique de genre et rendu publics les abus, n’a pas pu prononcer son discours.
– Les féministes ont été complètement exclues des consultations lors des discussions sur l´introduction de la loi de l´autodetermination. Leur voix n’est pas la bienvenue. Elles sont qualifiées de transphobes, insultées, traitées de TERFS et même utilisées comme du matériel pédagogique dans des brochures sponsorisées par le ministère fédéral des Affaires familiales, des Personnes âgées, des Femmes et de la Jeunesse, par exemple la brochure « Que sont les TERFs ? »
– Un effort ciblé a été fait pour exclure du débat un groupe d’intérêt entier, à savoir les militant·es des droits des femmes, et pour les réduire au silence, ce qui leur a causé un préjudice social. Ce projet a été mis en œuvre sous le slogan « Démocratie vivante » et a été soutenu par un financement de l’État. Un scandale !
– Les conséquences sont multiples. La scène activiste trans se sent renforcée de ce fait, et déploie des tactiques d’intimidation extrêmement agressives. Les activistes ne permettent aucune discussion. Ils menacent de meurtre, appellent au meurtre, insultent et maltraitent les femmes. Ils appellent à la violence contre les femmes, s’arrogent le droit d’occuper les espaces réservés aux femmes et, si une femme se plaint, se présentent comme des victimes. Ils dénoncent à leur ordre professionnel les médecins et psychothérapeutes qui ne partagent pas leurs opinions afin d’obtenir leur interdiction professionnelle.
C’est ce qui est arrivé à une thérapeute, qui a reçu une plainte de son association professionnelle et fait face depuis deux ans à une procédure de révocation de son permis d’exercice. C’est extrêmement stressant pour de nombreux médecins et thérapeutes, dont beaucoup ne veulent pas prendre de risques et restent donc silencieux. Car leur existence professionnelle est en jeu s´ils critiquent la loi. Une autre a été menacée plusieurs fois d’être dénoncée à son association professionnelle.
– Il existe des portails où les patients peuvent évaluer leurs médecins et thérapeutes. Une autre thérapeute a reçu une critique extrêmement négative qu’elle ne pouvait pas expliquer. La révision du portail a pris six mois. Pendant tout ce temps, il y a eu une très mauvaise critique à son sujet en ligne sur un site pour professionel·les. Il s’est avéré que ce n’était pas un de ses patients. Les lobbyistes qui ont des opinions différentes sur la prostitution ou l’idéologie trans cherchent à intimider les professionnel·les en essayant de nuire leur réputation.
– Stefanie Bode et Rona Duwe ont traduit de l´anglo-américain un guide parental intitulé «Wegweiser aus dem Transgenderkult» (Guide pour sortir du culte transgenre). Ce guide donne des conseils aux parents d‘un enfant qui pense „être dans un mauvais corps“. Cette brochure a été classée comme “hostile aux mineurs” par le Département de la protection des enfants et des jeunes dans les médias. Résultat : les deux traductrices ont été accusées d’« incitation à la haine ».
– À l’occasion de la Journée internationale des femmes, le 8 mars 2024, environ 400 personnes se sont rassemblées sur l’Odensplatz de Munich avec le slogan « Courir pour leur vie » pour commémorer les violences sexuelles contre les femmes israéliennes lors des massacres du 7 octobre 2023. Parmi les participantes figurait Charlotte Knobloch, survivante de l’Holocauste et présidente de la communauté juive. Après la commémoration, les manifestant·es ont voulu participer à la grande manifestation pour la Journée internationale des femmes. Mais là, ils ont dû faire face à des hostilités. Une femme, faisant partie des organisatrices, a crié : « Vous n’avez rien à faire ici. Vous représentez le colonialisme de peuplement sioniste. » Les participantes juives ont été refoulées.
– A Lausanne en 2025, lors du rassemblement de la Journée internationale des femmes, le message était : les femmes juives ne sont pas les bienvenues. Des femmes kurdes, yézidies et juives ont uni leurs forces pour manifester sous le slogan « Stop au terrorisme islamiste contre les femmes ». Cependant, ce groupe a été complètement stoppé par un soi-disant Front pro-palestinien. Ils ont formé un veritable mur devant ce collectif, l’encerclant presque et empêchant les femmes de continuer à participer à la marche à Lausanne. Les manifestants «pro-palestiniens » ont scandé à haute voix leurs slogans antisionistes habituels.
– Des exclusions similaires de participantes à la Journée internationale des femmes qui prennent la défense des victimes de viols et des otages du 7 octobre 2023 ont été observées partout en Europe : à Paris, Bruxelles, Stockholm… Partout, un « féminisme de gauche » s´associe à l’antisémitisme. La haine contre les femmes juives se déchaîne désormais lors de tels rassemblements.
– Karoline Preisler, une femme politique du FDP, fait campagne pour la libération des otages israéliens et contre l’antisémitisme. Elle se rend souvent aux manifestations pro-palestiniennes avec une pancarte sur laquelle est écrit « Le viol n’est pas une résistance », et elle cherche à dialoguer avec les participant·es. Mais elle ne rencontre que de la haine. Lors de ces manifestations, elle est insultée : « Tu es une meurtrière d’enfants, une femme nazie, sale bâtarde… » et agressée physiquement. Ils souhaitent sa mort et appellent à agir contre elle : « Tuez-la partout où vous la voyez ! » ; elle a été désignée comme cible des attaques du Hamas sur les réseaux sociaux. On lui jette des bouteilles, des œufs ou des bâtons. Elle est aussi attaquée dans sa vie privée. La porte de son appartement a été profanée par des croix gammées. Sans la protection policière, elle serait en danger de mort.
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Gewalt gegen Feministinnen in Deutschland
Auf den sozialen Medien wird man systematisch als „faschistoide TERF“ bezeichnet, wenn man sich der Trans-Ideologie kritisch äußert.
Auf den Gay-Pride werden sehr frauenfeindliche Äußerungen betätigt, die auf Flyer verteilt werden oder über große Plakate sichtbar gemacht sind, wie z.B. auf der Gay Pride in Stuttgart 2022: „TERFs CAN SUCK MY HUGE TRANS COCK“. Oder „Suck my Dick“.
Oder wie in Karlsruhe auf der Gay Pride 2023: „Nasse Schlafsäcke für TErfs“.
Mit solchen Plakaten marschieren mittelweile Teilnehmer der Gay-Prides in Deutschland herum, obwohl diese Veranstaltungen offiziell sind und mit Stadträten und Bundestagsabgeordneten als Schirmfrauen/Schirmherren vertreten sind. Welche Frau ist da noch sicher?
Kritik an dem Selbstbestimmungsgesetz wird nicht zugelassen. Sachliche Diskussionen sind kaum möglich. Hier ein paar Beispiele:
Die Bundestagsabgeordnete Mareike Wulf wollte an der Universität Göttingen einen Vortrag halten. Dieser wurde im Vorfeld von der Grünen Jugend als queerfeindlich bezeichnet. Studierende protestierten dann so stark, dass ihr Auftritt abgebrochen werden musste. Wulf verließ den Hörsaal in Begleitung der Polizei.
Nicht nur Politiker und Politikerinnen werden mit Gewalt zum Schweigen gebracht. Der Verein Sisters e.V., der sich für das Nordische Modell einsetzt und Frauen hilft aus der Prostitution auszusteigen, wird regelmäßig in ihren Aktivitäten gestört. In Berlin z.B. werden ihnen Veranstaltungsräume verweigert, weil ihnen “Transfeindlichkeit“ unterstellt wird. In Leipzig wurde kürzlich eine Veranstaltung von Sisters sabotiert. Mehrere Leipziger Gruppen riefen auf eine Filmvorführung mit Podiumsdiskussion „zum Desaster“ zu machen. 50 maskierte Männer (mit einer Kuffiya) stürmten die Bühne und unterbrachen die Fortführung und suchten angeblich eine Transfeindliche Diskutantin der Podiumsdiskussion. Hier wird künstlich von Transaktivisten eine Verbindung zwischen Prostitutionskritik und Transfeindlichkeit hergestellt. Absurd! Und es wird noch absurder: Der Verein Sisters wurde sogar als antisemitisch bezeichnet, weil sie die Interessensgemeinschaft der Zuhälter als Lobby bezeichnet hat. Der Prozess gegen Sisters läuft immer noch.
Die LGB-Alliance Konferenz in London wurde zum Abbruch gezwungen, indem Transaktivisten 6000 Heuschrecken in dem Saal frei ließen. Dadurch konnte die Rede von Jamie Reed nicht stattfinden, eine US-amerikanische Krankenpflegerin, die selbst in einer Genderklinik gearbeitet und die Missstände öffentlich gemacht hatte.
Feministinnen wurden aus den Konsultationen komplett ausgeschlossen. Ihre Stimme ist nicht erwünscht. Sie werden als transphob abgestempelt, als TERFS beschimpft und sogar über Broschüren, die als Aufklärungsmaterial verteilt werden, schlecht gemacht, die sogar vom Bundesministerium für Familie/Senioren/Frauen/Jugend gefördert wurden. Siehe die Broschüre „Was sind TERFs?“
Es wurde gezielt darauf hingearbeitet, dass eine gesamte Interessensgruppe, nämlich die der Frauenrechtlerinnen, aus der Debatte ausgeschlossen und mundtot gemacht wird. Ihnen wurde damit einen gesellschaftlichen Schaden zugefügt. Dies wurde unter dem Motto „Demokratie Leben“ umgesetzt und mit staatlicher Förderung unterstützt. Ein Skandal!
Die Konsequenzen daraus sind Multiple. Die Transaktivisten-Szene fühlt sich dadurch bestärkt und ihre Einschüchterungen sind äußerst aggressiv. Eine Diskussion lassen sie nicht zu. Sie rufen zu Gewalt gegen Frauen auf, nehmen sich das Recht Frauenräume zu besetzen und sich dann als Opfer darzustellen, wenn sich eine Frau beschwert. Sie zeigen Ärzte und Psychotherapeutinnen bei ihrer Berufskammer an, die nicht ihrer Auffassung sind, um ein Berufsverbot zu erwirken. Das ist einer Therapeutin passiert, die eine Anzeige bei ihrer Berufskammer erhielt und seit 2 Jahren nun ein Verfahren auf Aufhebung ihrer Approbation gegen sie läuft. Das ist extremer Stress für viele Ärzte und Therapeuten, die viele nicht eingehen wollen und deshalb schwiegen. Ihre berufliche Existenz steht auf dem Spiel. Eine andere Therapeutin wurde auch zig mal schon damit gedroht bei ihrer Berufskammer angezeigt zu werden.
Es gibt Portale, wo Patienten ihre Ärzte und Therapeuten bewerten können. Einer Therapeutin ist zum Beispiel passiert, dass sie eine extrem schlechte Bewertung bekam, die sie sich nicht erklären konnte. Die Überprüfung des Portals hat 6 Monate gedauert. So lange stand öffentlich eine sehr schlechte Bewertung über sie im Netz. Es stellte sich dann heraus, dass es sich hier überhaupt nicht um eine Patientin von ihr handelte. So wollen Lobyisten, die eine andere Meinung zu Prostitution oder der Transideologie vertreten, Professionelle einschüchtern indem sie versuchen ihren Ruf zu schädigen.
Stefanie Bode und Rona Duwe haben ein Elternratgeber aus dem Amerikanischen übersetzt namens „Wegweiser aus dem Transgenderkult“, die Eltern Möglichkeiten aufzeichnet, wie sie mit ihrem Kind umgehen können, das denkt im falschen Körper zu sein. Diese Broschüre wurde von der Prüfstelle für Kinder- und Jugendmedienschutz als Jugendfeindlich eingestuft. Die Folge: Beide bekamen eine Anzeige wegen „Volksverhetzung“.
Zum Weltfrauentag am 8. März 2024 kamen rund 400 Menschen am Münchner Odensplatz zusammen, um unter dem Motto »Run for their lives« an die sexualisierte Gewalt gegen israelische Frauen bei den Massakern vom 7. Oktober zu erinnern. Unter den Teilnehmern waren auch Charlotte Knobloch, Holocaust Überlebende und Präsidentin der Israelitischen Kultusgemeinde.
Nach der Gedenkveranstaltung wollten die Demonstranten noch an einer Großdemo zum Weltfrauentag teilnehmen. Doch dort wurden sie schnell angefeindet. Eine Frau mit Ordner-Binde am Arm hetzte laut jüdischer Augenzeugin: »Ihr habt hier nichts zu suchen. Ihr repräsentiert den zionistischen Siedlungskolonialismus. Ich kann das bestimmen, weil ich von der Organisation 8. März bin und jetzt weg hier«, sagte eine Frau mit Ordner-Binde.
Dabei war die Teilnahme eigentlich mit den Organisatoren des »Internationalen Frauen Kampftags« abgesprochen. Die Demonstranten sollten dafür extra darauf verzichten, Israelfahnen mitzubringen – palästinensische Flaggen durften jedoch geschwenkt werden. Doch selbst diese Abmachung half nichts: Die jüdischen Teilnehmer wurden abgewiesen.
In Lausanne galt 2025 auf der Kundgebung zum Weltfrauentag: Jüdinnen sind nicht willkommen. Kurdinnen, Jesidinnen und Jüdinnen taten sich zusammen, um gemeinsam unter dem Motto »Stoppt den islamistischen Terror gegen Frauen« zu demonstrieren. Diese Gruppe wurde jedoch von einer so genannten propalästinensischen Front komplett gestoppt. Diese baute sich vor dem Kollektiv wie eine Wand auf, kesselte es nahezu ein und hinderte die Frauen daran, am Marsch in Lausanne weiter teilzunehmen. Dabei skandierten die »propalästinensischen« Demonstrierenden lautstark ihre gewohnten antizionistischen Parolen.
Ähnliche Ausgrenzungen von Teilnehmerinnen am Weltfrauentag, die sich für die Vergewaltigungsopfer und Geiseln vom 7. Oktober 2023 einsetzen, kann man in ganz Europa beobachten: Paris, Bruxelles, Stockholm,… Überall verbindet sich ein „linker Feminismus“ mit Antisemitismus. Auf solchen Kundgebungen entlädt sich mittlerweile der Hass gegen Jüdinnen.
Karoline Preisler, eine FDP-Politikerin, setzt sich für die Freilassung der israelischen Geiseln ein und gegen Antisemitismus. Sie geht dafür oft auf Pro-Palestinänsichen Demonstrationen mit einem Papier auf dem steht „Rape is not Resistance“ und sucht den sucht den Dialoge mit den Teilnehmern. Dort begegnet sie aber nur Hass. Sie wird auf diesen Demos beschimpft: „Du bist eine Kindermörderin, eine Nazifrau, du dreckige Rate,…“ und auch körperlich angegriffen. Man wünscht ihr den Tod und man ruft auch zu Aktionen gegen sie auf: „Tötet sie, wo auch immer ihr sie sieht!“ und ist als Angriffsziel der Hamas in den sozialen Medien markiert worden. Sie wird mit Flaschen, Eiern oder Stangen beworfen. Auch Privat wird sie angegriffen. Die Tür ihrer privaten Wohnung wurde mit Hackenkreuze beschmiert. Ohne Polizeischutz wäre sie ihres Lebens nicht mehr sicher.
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Violencia contra las feministas en Alemania
– En las redes sociales, las personas son sistemáticamente etiquetadas como «TERF fascistas» si critican la ideología trans.
– En el Pride gay se hacen declaraciones muy misóginas, que se distribuyen en octavillas o se hacen visibles en grandes carteles, como en el Pride gay de Stuttgart 2022: «LOS TERF PUEDEN CHUPAR MI ENORME POLLA TRANS». O «Chúpame la polla».
– O como en Karlsruhe en el Pride Gay 2023: «Sacos de dormir mojados para TErfs».
Los participantes en los Prides gays de Alemania desfilan ahora con carteles como este, a pesar de que estos eventos son oficiales y están representados por concejales y MP como padrinos. ¿Qué mujer sigue estando a salvo?
No se permite criticar la Ley de Autodeterminación. Las discusiones objetivas apenas son posibles. He aquí algunos ejemplos:
– Mareike Wulf, diputada, quería dar una conferencia en la Universidad de Göttingen. Las Juventudes Verdes la tacharon de antisexual de antemano. Los estudiantes protestaron tan enérgicamente que la conferencia tuvo que cancelarse. Wulf abandonó la sala de conferencias acompañada por la policía.
– No sólo los políticos son silenciados con violencia. La asociación Sisters e.V., que hace campaña a favor del modelo nórdico y ayuda a las mujeres a abandonar la prostitución, ve interrumpidas regularmente sus actividades. En Berlín, por ejemplo, se les niegan espacios para eventos porque se les acusa de ser «trans-hostiles». En Leipzig, un acto organizado por Sisters fue saboteado recientemente. Varios grupos de Leipzig convocaron una proyección de cine y una mesa redonda para «convertirla en un desastre». 50 hombres enmascarados (con una kuffiya) irrumpieron en el escenario e interrumpieron la continuación, supuestamente buscando a un panelista trans hostil. En este caso, los activistas trans están creando artificialmente un vínculo entre la crítica de la prostitución y la hostilidad trans. Es absurdo. Y aún es más absurdo: la asociación Sisters fue tachada incluso de antisemita por describir al grupo de interés de los proxenetas como un lobby. El juicio contra Sisters sigue su curso.
– La conferencia de la LGB Alliance en Londres tuvo que ser cancelada cuando activistas trans soltaron 6000 grillos en la sala. Ello impidió que tuviera lugar el discurso de Jamie Reed, una enfermera estadounidense que había trabajado en una clínica especializada en cuestiones de género y había denunciado los abusos.
– Las feministas fueron completamente excluidas de las consultas. No se quiere oír su voz. Se las tacha de transfóbicas, se las insulta como TERFS e incluso se las denigra a través de folletos distribuidos como material educativo, que incluso fueron financiados por el Ministerio Federal de Asuntos de la Familia/Ancianos/Mujeres/Jóvenes. Véase el folleto «¿Qué son los TERF?».
– El objetivo era excluir del debate a todo un grupo de interés, a saber, los activistas de los derechos de la mujer, y silenciarlos. Esto les causó un daño social. Esto se llevó a cabo bajo el lema «Democracia viva» y se apoyó con fondos estatales. ¡Un escándalo!
– Las consecuencias son múltiples. La escena activista trans se siente envalentonada por ello y su intimidación es extremadamente agresiva. No permiten ningún debate. Llaman a la violencia contra las mujeres, se arrogan el derecho de ocupar espacios femeninos y luego se presentan como víctimas cuando una mujer se queja. Denuncian a médicos y psicoterapeutas que no están de acuerdo con ellos ante su colegio profesional para que les expulsen de su profesión. Esto le ocurrió a una terapeuta que recibió una denuncia de su asociación profesional y ahora ha sido objeto de un procedimiento para que se le suspenda la licencia para ejercer durante dos años. Se trata de un estrés extremo para muchos médicos y terapeutas, muchos de los cuales no quieren asumir el riesgo y, por tanto, permanecen en silencio. Su existencia profesional está en juego. Otra terapeuta también ha sido amenazada decenas de veces con ser denunciada ante su asociación profesional.
– Hay portales donde los pacientes pueden calificar a sus médicos y terapeutas. Una terapeuta, por ejemplo, recibió una crítica extremadamente mala que no podía explicar. Tardó 6 meses en revisar el portal. Ese es el tiempo que una crítica muy mala sobre ella estuvo disponible públicamente en Internet. Luego resultó que no se trataba en absoluto de un paciente suyo. Así es como los lobistas que tienen una opinión diferente sobre la prostitución o la ideología trans tratan de intimidar a los profesionales intentando dañar su reputación.
– Stefanie Bode y Rona Duwe han traducido de Estados Unidos una guía para padres titulada «Wegweiser aus dem Transgenderkult», en la que se enumeran las formas en que los padres pueden tratar a sus hijos que piensan que están en el cuerpo equivocado. Este folleto fue calificado de hostil a los menores por el centro de pruebas para la protección de la infancia y la juventud en los medios de comunicación. Como consecuencia, ambos fueron acusados de « Incitación al odio ».
– El 8 de marzo, Día Internacional de la Mujer, unas 400 personas se reunieron en la Odensplatz de Múnich para conmemorar la violencia sexual contra las mujeres israelíes en las masacres del 7 de octubre bajo el lema «Sálvese quien pueda». Entre los participantes se encontraba Charlotte Knobloch, superviviente del Holocausto y Presidenta de la Comunidad Judía.
Tras el acto conmemorativo, las manifestantes quisieron participar en una gran manifestación para celebrar el Día Internacional de la Mujer. Pero allí se encontraron rápidamente con la hostilidad. Según un testigo judío, una mujer con un brazalete de camarero en el brazo gritó: «No tenéis nada que hacer aquí. Representáis el colonialismo de los asentamientos sionistas. Yo puedo decidirlo porque soy de la organización 8 de Marzo y me voy de aquí ahora mismo», dijo una mujer con una corbata de carpeta.
En realidad, la participación se acordó con los organizadores del «Día Internacional de Lucha de las Mujeres». Se pidió a las manifestantes que se abstuvieran de llevar banderas israelíes, aunque sí se permitió ondear banderas palestinas. Pero incluso este acuerdo no sirvió de nada: las participantes judías fueron rechazadas.
– En la manifestación del Día Internacional de la Mujer de 2025 en Lausana, las mujeres judías no fueron bienvenidas. Mujeres kurdas, yazidíes y judías unieron sus fuerzas para manifestarse bajo el lema «Alto al terror islamista contra las mujeres». Sin embargo, este grupo fue completamente detenido por un supuesto frente pro palestino. Este frente se levantó como un muro frente al colectivo, casi rodeándolo e impidiendo que las mujeres siguieran participando en la marcha de Lausana. Los manifestantes «propalestinos» corearon a voz en grito sus habituales eslóganes antisionistas.
– En toda Europa se puede observar una exclusión similar de participantes en el Día Internacional de la Mujer, que hacen campaña por las víctimas de violación y los rehenes del 7 de octubre de 2023: París, Bruselas, Estocolmo,… En todas partes, el «feminismo de izquierdas» se combina con el antisemitismo. El odio contra las mujeres judías se desata ahora en esas concentraciones.
– Karoline Preisler, política del FDP, hace campaña por la liberación de los rehenes israelíes y contra el antisemitismo. A menudo acude a manifestaciones propalestinas con un papel en el que se lee «La violación no es resistencia» y busca el diálogo con los participantes. Pero allí sólo encuentra odio. En esas manifestaciones la insultan: «Eres una asesina de niños, una nazi, sucia rata,…» y también la agreden físicamente. La gente le desea la muerte y pide que se actúe contra ella: «¡Matadla dondequiera que la veáis!», y en las redes sociales la etiquetan como objetivo de Hamás. Le lanzan botellas, huevos y palos. También la atacan en privado. La puerta de su piso particular fue pintada con cruces. Sin protección policial, su vida ya no sería segura.
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Violence against feminists in Germany
– On social media, people are systematically labeled as “fascist TERF” if they express criticism of trans ideology.
– At Gay Pride, very misogynistic statements are made, which are distributed on flyers or made visible on large posters, such as at Gay Pride in Stuttgart 2022: “TERFs CAN SUCK MY HUGE TRANS COCK” . Or “Suck my Dick”.
– Or like in Karlsruhe at Gay Pride 2023: “Wet sleeping bags for TErfs”.
Participants at Gay Prides in Germany are now marching around with posters like this, even though these events are official and are represented by city councillors and MP as patrons. Which woman is still safe?
Criticism of the Self-Determination Act is not permitted. Objective discussions are hardly possible. Here are a few examples:
– Mareike Wulf, a MP, wanted to give a lecture at Göttingen University. This was described in advance by the Green Youth as anti-queer. Students then protested so strongly that her lecture had to be canceled. Wulf left the lecture hall accompanied by the police.
– It is not only politicians who are silenced by force. The Sisters e.V. association, which campaigns for the Nordic model and helps women to leave prostitution, is regularly disrupted in its activities. In Berlin, for example, they are denied event spaces because they are accused of being “trans-hostile”. In Leipzig, an event organized by Sisters was recently sabotaged. Several Leipzig groups called for a film screening and panel discussion to be “turned into a disaster”. 50 masked men (with a kuffiya) stormed the stage and interrupted the continuation, allegedly looking for a trans-hostile panelist. Here, trans activists are artificially creating a link between criticism of prostitution and trans hostility. Absurd! And it gets even more absurd: the Sisters association was even labeled anti-Semitic because it described the pimps’ interest group as a lobby. The trial against Sisters is still ongoing.
– The LGB Alliance conference in London was forced to break up when trans activists released 6000 locusts into the hall. This meant that the speech by Jamie Reed, an American nurse who had worked in a gender clinic herself and made the abuses public, could not take place.
– Feminists were completely excluded from the consultations. Their voice is not welcome. They are labeled as transphobic, insulted as TERFS and even maligned via brochures distributed as educational material, which were even funded by the Federal Ministry for Family Affairs/Senior Citizens/Women/Youth. See the brochure “What are TERFs?”
– The aim was to exclude an entire interest group, namely women’s rights activists, from the debate and silence them. This caused them social damage. This was implemented under the motto “Living Democracy” and supported with state funding. A scandal!
– The consequences of this are multiple. The trans activist scene feels emboldened by this and their intimidation is extremely aggressive. They do not allow any discussion. They call for violence against women, take the right to occupy women’s spaces and then portray themselves as victims when a woman complains. They report doctors and psychotherapists who disagree with them to their professional association in order to get them banned from their profession. This happened to a female therapist who received a complaint from her professional association and has now been the subject of proceedings for the revocation of her license to practice for two years. This is extreme stress for many doctors and therapists, many of whom do not want to take the risk and therefore remain silent. Their professional existence is at stake. Another therapist has also been threatened dozens of times with being reported to her professional association.
– There are portals where patients can rate their doctors and therapists. One therapist, for example, received an extremely bad review that she couldn’t explain. It took 6 months to review the portal. That’s how long a very bad review about her was publicly available on the internet. It then turned out that this was not a patient of hers at all. This is how lobyists who have a different opinion on prostitution or trans ideology try to intimidate professionals by damaging their reputation.
– Stefanie Bode and Rona Duwe have translated a parenting guide from American called “Wegweiser aus dem Transgenderkult”, which lists ways for parents to deal with their child who thinks they are in the wrong body. This booklet was classified as harmful to minors by the German Children and Youth Media Protection Authority. As a result, both were charged with “Incitement to hatred”.
– On International Women’s Day on 8 March 2024, around 400 people gathered at Munich’s Odensplatz to commemorate the sexualized violence against Israeli women in the massacres of 7 October under the motto “Run for their lives”. Among the participants was Charlotte Knobloch, Holocaust survivor and President of the Jewish Community.
After the memorial event, the demonstrators wanted to take part in a large demonstration on International Women’s Day. But they were quickly met with hostility there. According to a Jewish eyewitness, a woman with a steward’s armband on her arm shouted: “You have no business here. You represent Zionist settlement colonialism. I can decide that because I am from the March 8th organization and now I’m leaving here,” said a woman with a binder.
The participation was actually agreed with the organizers of the “International Women’s Day of Struggle”. The demonstrators were supposed to refrain from bringing Israeli flags – Palestinian flags were allowed to be waved, however. But even this arrangement didn’t help: the Jewish participants were turned away.
– At the 2025 International Women’s Day rally in Lausanne, Jewish women were not welcome. Kurdish, Yazidi and Jewish women joined forces to demonstrate under the slogan “Stop Islamist terror against women”. However, this group was completely stopped by a so-called pro-Palestinian front. This front built itself up like a wall in front of the collective, almost encircling it and preventing the women from continuing to take part in the march in Lausanne. The “pro-Palestinian” demonstrators loudly chanted their usual anti-Zionist slogans.
– Similar exclusions of participants on International Women’s Day, who stand up for the rape victims and hostages of October 7, 2023, can be observed throughout Europe: Paris, Bruxelles, Stockholm,… Everywhere, “left-wing feminism” is combined with anti-Semitism. Hate against Jewish women is now being unleashed at such rallies.
– Karoline Preisler, an FDP politician, campaigns for the release of Israeli hostages and against anti-Semitism. She often goes to pro-Palestinian demonstrations with a piece of paper that reads “Rape is not Resistance” and seeks dialog with the participants. But there she only encounters hatred. She is insulted at these demonstrations: “You are a child murderer, a Nazi woman, you dirty rat,…” and also physically attacked. People wish her dead and call for action against her: “Kill her wherever you see her!” and she has been marked as a Hamas target on social media. She is pelted with bottles, eggs and sticks. She is also attacked in private. The door of her private apartment was smeared with hacking crosses. Without police protection, her life would no longer be safe.